
~ Note de l'auteur : Voici la deuxième partie du Multi-Shot One Love. Whoa ! Je suis moi-même impressionnée de la vitesse à laquelle j'ai écrit et posté cette deuxième partie, alors que je suis en pleines révisions. Cela ne me ressemble tellement pas. Bref, en tout cas, j'espère qu'elle vous plaira tout autant que la première et que vous ne serez pas trop troublé(e) et confus(e) par cette suite, même si je pense que mal de personne seront déçue et surprise par cette deuxième partie, désolé. Je vous souhaite donc quand même une bonne lecture à tous et à toutes et je vous dis à tout de suite dans les commentaires. Qu'en penserez-vous ? ♥
~ Résumé de la 1ère partie : Junhoe finit de raconter l'histoire de leur première rencontre, avant que la psychologue, Mlle Park Bom, ainsi que les autres membres du groupe, dont Bobby, Minzy et Yunhyung (les plus importants) ne se présentent à lui. Une semaine plus tard, il y retourne et il croise sur le chemin de l'allée, Yunhyung, un autre membre du groupe qui est une vraie pipelette. Par la suite, il continue de narrer son idylle avec Jinhwan aux autres membres, avant que ce ne soit autour de Minzy, une jeune femme timide et mystérieuse, qui refuse catégoriquement de parler de son histoire aux autres. C'est ainsi que, sous le regard inquiet de Mlle Bom, la deuxième réunion se termine. Junhoe quitte la salle et sort dans la rue, avant de tomber sur une scène des plus choquantes et douloureuses pour lui, Minzy et Jinhwan en train de s'embrasser.

Ils se séparèrent quelques instants plus tard, rouges de honte et ils se tournèrent doucement vers moi, avant que nos regards perplexes ne se croisent. Cela ne pouvait être lui. Non, impossible, me répétais-je en me tenant la tête entre mes mains, accroupi sur le sol froid en béton de la rue. Je ne pouvais faire qu'un mauvais rêve dont j'allais me réveiller. Non, cela était impossible. Ce n'était pas lui.
-Junhoe, m'appela plusieurs fois une voix masculine. Est-ce que ça va ? Me demanda-t-il, soudainement inquiet pour moi.
Accroupi et la tête toujours entre mes mains, je ne lui répondis pas et je continuais de me balancer d'avant en arrière, mon c½ur battant à un rythme effréné. Non, cela était impossible, me répétais-je à moi-même. Il ne pouvait pas être là, devant moi. J'avais dû avoir une hallucination. Oui, ça devait être cela. J'avais dû croire le voir, à cause de la fatigue que j'éprouvais ces derniers temps.
-Junhoe, m'appela doucement cette même voix. Qu'est-ce que tu fais-là ? Me demanda-t-il en s'accroupissant à côté de moi.
Comment osait-il me faire cela ? Me demandais-je à moi-même le c½ur serré. Il osait même venir me hanter jusque dans ma vie de tous les jours. Il avait même fallu que je le rencontre devant la salle où avait lieu mes réunions. Cela ne pouvait pas être une coïncidence. Le destin était contre moi et se jouait sûrement de moi et de mon malheur. Ça ne pouvait être que cela, me répétais-je à moi-même en me balançant toujours d'avant en arrière sur le sol froid en béton de la rue. De plus, comment connaissait-il Minzy ? Ce n'était pas possible. Parmi toutes les jeunes femmes de la Terre, il avait dû rencontrer et se mettre en couple avec la seule fille de mon groupe. D'ailleurs, comment c'était-il rencontré ? Étais-ce pour cela que Minzy m'avait regardé bizarrement durant les réunions précédentes et qu'elle n'avait pas voulu raconter son histoire ? Me questionnais-je, curieux. Ah ! Toutes ces questions qui tournèrent dans mon esprit me donnaient un de ces mal de crâne. S'en était insupportable, mais j'avais encore l'infime espoir que ce ne soit pas lui. Après tout, se pourrait-il que mes yeux se soit tromper et m'est joué un mauvais tour ? M'interrogeais soudainement, en me mordant violemment la lèvre inférieure, nerveux. Malheureusement, mon espoir fut de courte durée.
-Jinhwan, lui dit-elle dans un murmure honteux. Nous devrions y aller, non ? Lui demanda-t-elle presque suppliante.
-Et pourquoi ? Lui répondit-il sèchement. Je ne peux pas le laisser dans cet état-là, lui annonça-t-il durement. Je l'ai quand même aimé Minzy, ajouta-t-il, la voix pleine de reproches à son encontre. Ne l'oublie pas, lui dit-il, avant de s'approcher un peu plus de moi et de poser sa main chaude sur mon épaule dans un signe tendre de réconfort.
-Je t'en prie, ne me touche pas, lui avais-je dit soudainement hors de moi, les yeux baignés de larmes, à cause de la douleur que je ressentais en ce moment, avant de me relever et de le repousser violemment pour qu'il cesse ses douces caresses à mon égard. Il avait mis fin à notre relation, alors pourquoi agissait-il ainsi ?
-Junhoe, prononça-t-il surpris. Je . . ., bégaya-t-il, peu sûr de lui, pour la première fois de sa vie
-Tu vois comment il est Jinhwan, avait-elle soupiré en me pointant du doigt pour appuyer ces dires. Il ne veut pas de toi, lui avait-elle dit doucement. Enfin, pas pour l'instant, ajouta-t-elle, en plongeant ses yeux dans les miens. Viens, laissons-le tranquille Jinhwan ? Avait-elle insisté, en lui prenant la main et en essayant de le tirer vers la voiture. Il n'est pas encore prêt, avait-elle chuchoté pour elle-même tout bas, en passant devant moi.
Que voulait-elle insinuer par-là ? Que plus tard, je reviendrais vers lui et que nous nous remettrions ensemble ? J'étais réellement perdu. Pourquoi disait-elle cela ? N'étaient-ils pas ensemble, tous les deux ?
-Je . . . Je ne peux pas le laisser comme ça, avait-il murmuré tout bas, la tête baissée. J'ai besoin de le protéger et de le rendre heureux, car après tout, tout est de ma faute, avait-il avoué sous mon regard étonné et mes sourcils froncés, face à l'incompréhension de ses paroles.
Je ne comprenais plus rien. Il m'avait quitté et il était avec Minzy maintenant, ou du moins, c'était ce que j'avais cru comprendre, mais pourtant, il agissait comme s'il n'en avait rien fait et qu'il tenait encore à moi. Se pourrait-il qu'il m'aime encore ? Me demandais-je, avant de secouer ma tête de gauche à droite, pour chasser cette idée saugrenue de mon esprit. Nous avions rompu et cela signifiait donc qu'il ne m'aimait plus. Pourtant, sa réaction et son comportement à mon égard me troublaient énormément.
- A ton avis, pourquoi était-il comme ça ? Le questionna-t-elle en le prenant par la main pour le tirer, cette fois-ci, de son côté, afin de me laisser reprendre ma respiration, ce que je lui en fus extrêmement reconnaissant.
-Je sais, mais . . . Minzy, je ne vais pas pouvoir attendre aussi longtemps, lui dit-il soudainement, en lui serrant plus fortement sa main. J'ai besoin de lui et maintenant, lui avoua-t-il sous mes grands yeux étonnés.
-Quoi . . . quoi, bégayais-je soudainement perdu par toute cette étrange discussion. Mais, tu n'es pas avec Minzy, lui demandais-je troublé et le c½ur battant à tout rompre, malgré moi, plein d'espoir pour la suite.
Il ne me répondit pas et il se contenta de plonger son intense regard dans le mien, ce qui m'électrisa de la tête aux pieds. Comme avant, pensais-je. Légèrement mal à l'aise, je détournais vitement mes yeux des siens, avant de voir briller au fond de son regard une faible lueur, que je ne sus décrire et que je ne lui connaissais pas. Mon dieu ! Mais que se passait-il à la fin ? Me dis-je, complètement perdu par tous ses récents événements.
-J'ai . . . J'ai menti, jamais je n'ai voulu te quitter Junhoe, m'avoua-t-il, avant de se taire à nouveau sous les conseils de Minzy.
-Jinhwan, plus tard, le pria-t-elle. Tu lui diras tout plus tard, lui promit Minzy légèrement nerveuse. Mais d'abord, tu dois réussir ce que tu t'es fixé et après nous verrons, lui dit-elle.
En cet instant, je ne comprenais absolument rien et j'avais toujours le c½ur qui battait au ralenti. Mais quand, dans un infime instant d'assurance, j'ai plongé de nouveau mes yeux au fond de son regard, à ce moment-là, j'ai su que pour lui aussi, notre amour n'était pas encore, bel et bien, fini.
-Jin, lui dis-je, la voix suppliante, avant de le voir fermer ses yeux et d'avaler sa salive difficilement. Que signifie tout cela ? Explique-moi, lui demandais-je sous son visage soudainement rempli de douleur et de culpabilité.
-Désolé, bébé, mais pour l'instant, je ne peux pas. Mais une fois tout fini, je te promets de tout te dire, conclut-il, avant de mettre fin à cette discussion et de prendre le bras de Minzy, tout aussi bouleversé que moi par sa déclaration, entre ses doigts fins et de se diriger vers sa voiture.
-Essaye de comprendre, lis-je sur ses lèvres, avant de le voir monter dans sa Mercédès noir et qu'il ne ferme la portière de celle-ci.
Que cela signifiait-il ? Me demandais-je. Ce pourrait-il qu'il ne l'aimait pas ? Mais pourtant, je les avais bien vu s'embrasser devant mes yeux. Ah ! Je n'y comprenais plus rien. C'était ainsi que quelques secondes plus tard, je vis la voiture s'éloigner au loin comme lors de notre rupture, pensais-je soudainement nostalgique.
J'ai encore dans mon esprit cette dernière image de toi qui s'enfuit et s'éloigne de moi. A cet instant, notre amour était comme dans un film au ralenti, il était fini. Comment peux-tu me faire ça ? T'avais-je demandé ce jour-là et tu m'as dit, c'est la vie, puis tu es parti, sans rien me dire de plus. Dehors, cette nuit-là, il faisait noir et j'ai pensé que c'était comme notre amour, complètement terminé et brisé. Je me souviens encore que tu as pris un taxi et depuis, ce moment-là, je ne t'ai plus jamais revu. J'ai essayé de t'oublier et de m'évader, mais je pense à toi tout le temps et je te vois partout jusque dans mes rêves les plus fous. Je rêve de remonter la pente, mais au final, je rêve de nous. Au fond de moi, j'ai l'impression de devenir complètement fou. J'ai peur de ne plus savoir aimer et de ne plus pouvoir t'effacer de ma mémoire. Ses pensées et ses actions sont mon quotidien depuis des semaines et des semaines. Mais au final, toi aussi, m'as-tu vraiment oublié ? Pensais-je pour moi-même, après les étranges propos d'aujourd'hui que tu avais tenu à mon égard. Quoi qu'on dise et quoi qu'on pense l'amour est parfois très compliqué. Parole de Koo.

La nuit n'allait pas tarder à s'abattre sur Séoul et en un rien de temps, elle l'aurait engloutie tout entière de ses sombres couleurs. Comme mon c½ur en ce moment, pensais-je douloureusement. C'était ainsi que bien plus tard, après avoir flâné pendant des heures et des heures dans les rues de la capitale sans but précis, je m'étais retrouvé chez moi, sur mon balcon, à regarder les lumières brillantes et éblouissantes de la ville se refléter dans mes yeux remplies de larmes. Encore cette nuit, j'avais mal. Encore cette nuit, je pensais à lui et ce qu'il m'avait dit plus tôt dans la matinée. Que voulait-il insinuer par-là ? Et surtout que devais-je comprendre par : j'ai menti, jamais je n'ai voulu te quitter Junhoe. Je ne savais plus que penser. Mon Dieu ! Que devais-je faire ? Mentait-il ou bien était-il sincère ? Me demandais-je, en soupirant fortement, une larme dévalant lentement mon triste visage. En cet instant précis, une personne ne pouvait-elle pas me venir en aide, car j'avais réellement besoin de la chaleur et du réconfort de quelqu'un. Sinon, qui sait quelle folie, pourrais-je commettre par désespoir ? Ah ! J'étais réellement perdu. Mais que devais-je faire à la fin ? Me dis-je à moi-même, en regardant le ciel étoilé de Séoul. Devais-je tenter quelque chose et l'appeler ou au contraire attendre ses explications comme il me l'avait gentiment suggéré plus tôt ce matin ? Je ne savais que faire.
Complètement perdu et la douleur meurtrissant de plus en plus mes entrailles, je rentrais doucement dans mon appartement, avant de me diriger dans ma cuisine à l'américaine et d'ouvrir mon frigo bleu et blanc. Je regardais dans celui-ci pendant quelques secondes, en pleine réflexion, avant de prendre une bouteille de bière brune et de la décapsuler. Je jetais le bouchon dans la poubelle et je pris une longue et grande gorgée de ce nectar amer, avant de finir la bouteille d'une traite, en à peine quelques secondes. J'en ouvris une autre et l'a bu comme la toute première. Ah ! La nuit n'allait pas être de tout repos, pensais-je, en sentant lentement l'alcool se répandre et pulser peu à peu dans mes veines.

La nuit était déjà bien avancée et mon taux d'alcoolémie aussi, quand je décidai de sortir sur le balcon de mon appartement pour prendre un peu l'air, car mine de rien, je commençais à avoir de plus en plus chaud, sûrement dû à l'alcool qui était, maintenant, bien présent dans mes veines en ce moment. Une fois sorti, je pris mon téléphone portable noir entre mes mains et je me dirigeai vers la rambarde du balcon, avant de me pencher par-dessus bord et de regarder en bas de mon immeuble en rigolant fortement comme un enfant. Un vent chaud d'été balaya doucement mon visage et je pris une profonde inspiration, avant de me mordre la lèvre inférieure et de composer son numéro. Mais que m'arrivait-il ? Pourquoi avais-je soudainement le c½ur battant à tout rompre ? Me demandais-je, légèrement nerveux, avant qu'il ne décroche.
-DongDong ? Dis-je, la voix pâteuse, à mon meilleur ami qui se trouvait à l'autre bout du fil.
-Oui, me répondit-il doucement d'une voix endormie.
-Je te dérange, le questionnais-je, en gloussant telle une adolescente de dix-sept ans.
-Non, pas du tout, m'affirma-t-il difficilement.
-Tu sais que je t'aime, lui avouais-je, en riant légèrement mal à l'aise à cause de ma soudaine confession d'amour. Je tiens à toi plus qu'à quiconque, ajoutais-je en me grattant l'arrière de la tête. Et . . . je voulais te demander . . ., bégayais-je, nerveux. Est-ce que tu m'aimes aussi Donghyuk ? Le questionnais-je subitement, avant de boire, à nouveau, une gorgée de bière.
Il eut un long silence et pendant un moment, je crus même qu'il avait raccroché, mais je l'entendis soupirer fortement à l'autre bout du fil et la réponse qu'il me donna ne me satisfit pas. C'était peut-être une mauvaise idée que de l'appeler tard dans la nuit. Je ne le faisais jamais et l'alcool ne devait en rien arranger mon état. Je soupirais à mon tour pour essayer de remettre mes idées au clair, malgré le sol qui tanguait à mes pieds. A présent, je m'en voulais beaucoup, car, maintenant, il devait sûrement se douter que quelque chose n'allait pas. D'ailleurs, pourquoi l'avais-je appelé, lui ? Pensais-je soudainement troublé. Nous n'étions qu'ami après tout. Simplement ami, essayais-je de me convaincre, en me mordant la lèvre inférieure, mal à l'aise.
-Qu'est-ce qu'il y a Junhoe ? Ça ne va ? Que c'est-il passé ? Me demanda-t-il soudainement inquiet, sans réellement répondre à la question que je lui avais posée, il y a quelques instants de cela.
-Rien, lui affirmais-je en rigolant faussement.
-Junhoe, me dit Donghyuk de sa voix menaçante. Dis-moi, immédiatement ce qu'il sait passer, ajouta-t-il en soupirant de nouveau.
Avec moi, jamais il ne pourrait avoir la conscience tranquille, me dis-je soudainement coupable. J'étais réellement un mauvais ami, car je lui faisais et lui créais plus de soucis que je ne lui apportais de bonheur. Alors, pourquoi restait-il avec moi ? Et pourquoi restions-nous amis, après tous les malheurs qu'il avait dû endurer avec moi.
-Junhoe. Que se passe-t-il ? Me répéta-t-il, en me ramenant à la réalité.
-Rien, je n'aurais pas dû faire cela, lui répondis-je en soupirant las de tout cela. Si toi aussi, tu ne m'aimes pas, alors je ne vois qu'une seule solution possible, lui dis-je en raccrochant subitement pour ne plus entendre sa voix remplie d'inquiétude pour moi, qui me faisait me sentir de plus en plus coupable à son égard.
Oui, il ne me restait plus qu'une seule et simple alternative, pensais-je. Et elle n'était pas des plus gaies, mais à cet instant et avec l'alcool qui n'arrangeait en rien mon état, je décidais de poser ma bouteille de bière vide sur la table en bois du balcon, avant de me diriger vers la rambarde de celui-ci et de monter doucement, mais lentement sur le mur. En équilibre sur le rebord de mon balcon, je baissais les yeux et je ris fortement, heureux de la sensation qui m'envahissait en cet instant. En bas, je vis la rue et le sol en béton en dessous de moi, mais pourtant mon rire continuait à fuser et je ne pouvais l'arrêter. J'étais tellement bien et quand je déployais mes bras, en grand, tel un avion, je me sentis subitement libre comme l'air. Alors, à présent, que devais-je faire ? Mourir ou Vivre ? Pensais-je, en continuant à rigoler comme si la décision que j'allais prendre n'étais pas si importe que cela pour mon futur. J'essayai d'y réfléchir le plus sérieusement possible pendant de bonnes minutes et toujours complètement mort de rire, je pris enfin ma décision, avant qu'une larme soudaine ne dévale doucement ma joue pâle quand je libérais un puissant cri de douleur dans la nuit calme de ce soir d'été.

-Junhoe, hurlait quelqu'un à s'en arracher les poumons. Descends immédiatement de là, me dit cette même voix menaçante.
Surpris par ce retournement soudain de situation, je me retournais et m'exécutais lentement, avant de perdre l'équilibre et de battre des bras dans le vide. J'allais tomber par-dessus bord, quand mon prince charmant Donghyuk me rattrapa in extrémis par le bas de mon tee-shirt et me fis m'affaler littéralement sur lui sur le sol de mon balcon. Il venait juste de me sauver la vie et de m'empêcher de commettre l'irréparable, pensais-je, soudainement mal à l'aise. Mais bon sang ! Mais que m'était-il passé par la tête à ce moment-là, pour décider de vouloir mettre fin, subitement à mes jours. J'étais devenu complètement fou ou quoi, pensais-je en me giflant mentalement de ma bêtise.
Néanmoins, quand j'essayai de me dégager de sa forte emprise sur mon corps et de me redresser, je rigolais à m'en décrocher la mâchoire, l'alcool faisant toujours son effet dans mes veines. La situation, à cet instant me semblait tellement comique que je ne pouvais m'arrêter de rire. A califourchon sur lui et nos bas-ventre se touchant à travers nos jeans à chaque mouvement que je tentais de faire, me faisait littéralement pouffer de rire, accentuant encore davantage le contact de nos corps chauds entre eux.
-Tu es complètement fou. Comment peux-tu penser un seul instant que je te laisserais tomber, me dit-il en posant soudainement ses mains sur mon torse, ce qui me fit frissonner de plaisir et accélérer un peu plus ma respiration.
Mon dieu ! Il faisait chaud tout d'un coup, non ? Pensais-je, en me mordant la lèvre inférieure sensuellement, dû à notre proximité. Que devais-je faire ? Me dis-je soudainement sérieux. Devais-je l'embrasser ou laisser tomber ? Pourtant, ses belles lèvres pulpeuses m'attiraient irrésistiblement vers lui. Je ne pus plus penser davantage, quand il se redressa subitement et que son souffle s'échoua dans mon cou, me faisant soupirer de bien-être. Nos yeux se rencontrèrent et une étincelle de désir s'empara subitement de nos regards. J'allais me pencher pour sceller définitivement nos lèvres et réaliser enfin ce que mon subconscient me hurlait de faire depuis des années, quand je m'arrêtai subitement à quelques millimètres de ses lèvres. Et Jinhwan dans tout cela ? M'avait murmuré soudainement ma conscience au creux de l'oreille. Ne l'oublie pas, Junhoe, ajouta-t-elle, en me ramenant ainsi à la réalité. Je soupirais longuement, le faisant frissonner à son tour, avant de me détacher de lui et de me redresser, mettant ainsi fin à ce moment intime.

Je fus doucement poussé sur un lit moelleux, sûrement le mien, pensais-je en riant de plus bel, avant de sentir Donghyuk se pencher sur moi pour m'enlever, difficilement, mes chaussures ainsi que mes vêtements, me retrouvant ainsi vêtu simplement d'un boxer noir. Il m'obligea à me mettre sous mes draps, avant de m'embrasser sur le front et de me caresser tendrement la joue comme un homme le faire pour sa petite-amie. Puis, il me recouvrit d'un drap blanc pour que je n'aie pas froid durant le reste de la nuit.
-Si seulement, tu pouvais réellement m'aimer comme moi, je t'aime, l'entendis-je vaguement me souffler à l'oreille, avant que je ne m'endorme pour le pays des rêves et qu'il ne s'éloigne de moi.
Première Partie Troisième Partie
G-Wolf, Posté le lundi 27 juin 2016 03:08
Salut :)
Ahh ! Ton commentaire est trop mignon et en même temps à mourir de rire. Je suis encore une fois très heureuse que la suite t'ai plu et j'espère que la suivante te plaira tout autant. Un triangle ? Hmm . . . Qui te dit que c'est fini !? Je ne t'en dis pas plus, mais tu risques d'être surprise (j'espère agréablement) pas la troisième partie. Je suis donc contente de t'avoir fait passer un bon moment et j'espère sincèrement que cela va continuer. Je te dis donc encore une fois mille merci pour prendre le temps de laisser un petit coeur et un petit commentaire à chaque écrit. Cela me touche beaucoup.
P.S : Ma faute ? Non, c'est pas possible -sourire de démon- hi :D
Chu ♥
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Je crois que je suis vraiment douée pour faire ressortir ces deux sentiments dans les commentaires que je sème derrière moi xD
Je t'imagine tellement devant ton écran en train de lire mes commentaires douteux xD
Je suis trop impatiente de savoir ce que tu nous réserve *-*
J'adoooore les coeurs alors c'est pas un problème (en fait le plus dur, c'est de pas en bourrer mes com xDD)
Bon t'as de la chance, j'ai rien eu x)
Si je sourie comme une demeurée devant mon écran en répondant à tes com' xDD
Bisous dégoulinants de fluffitude (je crois que j'aime bien cette tournure ^^) <3