
~ Note de l'auteur : Voici le prologue de mon Multi-Shot, j'espère qu'il vous plaira et qu'il vous transportera dans son univers. Il est certes un peu court, mais n'oubliez pas que cela reste un simple prologue, un avant-goût de la première partie. Je tenais aussi à m'excuser sincèrement pour la disparition soudaine de mon ancien blog Lightstick, mais j'avais besoin de m'éloigner un peu de Skyrock pour raison personnelle que je ne souhaite pas évoquer et aussi pour savoir si je voulais continuer à écrire, car c'était devenu plus une contrainte qu'un plaisir. Après avoir bien réfléchi, je me suis rendu compte que je ne pouvais pas vivre sans l'écriture, alors me revoilà en pleine forme pour vous. Je remercie tous ceux et toutes celles qui sont/seront encore présent pour moi. Qu'en penserez-vous ? ♥
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Cela se passe toujours comme ça, quand deux êtres humains décident, une nuit d'été, de se séparer dans les larmes et la peine. Celui qui veut rompre ressort à chaque fois ces phrases complètement bateau que l'on entend dans les séries américaines ou les dramas avec une larme fausse au coin de l'½il : «Tu es toi et moi, je suis moi. Je suis désolé, mais même si je t'aime encore, cela ne peut plus continuer entre nous.» C'est ce genre de phrases qui te tue et t'abat tellement que, quand tu es seul chez toi, tu deviens un véritable légume et c'est toujours là qu'un ami vient héroïquement te sauver sur son beau cheval blanc et te force à l'oublier. Enfin, c'est toujours comme cela que ça se passe dans une histoire irréelle traditionnelle, non ? Eh bien qu'on me croie ou non, j'ai vécu exactement ou presque ça, il y a un mois.
En quelques mots, qui es-tu ? Koo Junhoe, un jeune étudiant homosexuel sarcastique de vingt-trois ans qui vient de perdre, il y a un mois de cela, l'amour de sa vie. Triste, n'est-ce pas ?
Qu'est qui t'as poussé à venir ici ? Je pensais encore à lui, ce soir et la solitude est venue me voir. Sous les conseils de mon meilleur ami Donghyuk et n'en pouvant plus de tout cela, j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai décidé d'en parler à des gens qui peut-être me comprendraient.
De qui t'es-tu séparé ? Présente-le-nous. Il s'appelle Kim Jinhwan. Il a vingt-cinq ans, mais il a la tête d'un enfant de dix ans. Il y a un an de cela, il a commencé à travailler pour un célèbre magazine de mode et il s'est peu à peu éloigner de moi, sans que je ne sache pourquoi.
Comment le perçois-tu ? Décris-le-nous. Il est adorable, drôle, gentil, affectueux, attentionné et complètement parfait. Jusqu'au jour où, il m'a quitté et que je suis devenu littéralement une loque humaine. Il m'a brisé le c½ur en mille morceaux, m'a trahi et m'a fait souffrir en me quittant pour une autre personne, alors qu'il me disait qu'il n'en aimerait jamais un autre, mais malgré tout cela, je l'aime encore d'un amour sincère et profond.
Que représente-t-il encore pour toi ? Il est celui, il est l'homme sans qui, tout s'éteint dans mon corps.
Serais-tu prêt à lui pardonner ? Oui. S'il me revenait, je lui pardonnerais toutes ses erreurs.
Que donnerais-tu pour l'avoir encore juste une nuit auprès de toi ? Je donnerais tout, mes jours, mes nuits, mes rêves, jusqu'à ma vie pour ses lèvres sur mes lèvres, son souffle dans mon cou et sa peau nue contre mon corps. Je risquerais mon âme, mes espoirs et j'épuiserais mes larmes. Je donnerais toute ma vie, pour qu'il m'aime encore juste une nuit.
Comment te sens-tu actuellement après ta rupture ? Quelle question, mais parfaitement bien voyons. Je respire la joie de vivre. Je suis calme, heureux et souriant. C'est d'ailleurs pour cela que je suis venu à cette réunion de partage «Les c½urs brisés anonymes» pour remonter la pente et que je parle à des gens encore plus dépressifs que moi. Pff ! Imbécile ! Vous n'avez pas de questions plus intelligentes que celle-ci ? Je me sens comment à votre avis, hein ? Complètement au bout du rouleau, avec une grande envie de sauter dans le vide.
-Je te comprends tout à fait. Chaque personne qui vient nous trouver nous parle ainsi, mais tu verras, d'ici, quelques mois, grâce à ces réunions, tu te sentiras beaucoup mieux et tu l'auras oublié, me dit le psychologue en charge de notre groupe. Je te le promets, Junhoe, m'assura-t-elle avec un grand sourire qui réchauffa mon c½ur meurtri.
As-tu quelque chose à rajouter à ce que tu viens de dire ? Non, rien.
-Bien, dans ce cas. Bienvenue à toi, Junhoe, me dit-elle, suivit en c½ur par les autres personnes présentes dans la pièce.
A présent, raconte-nous plus en détails ton histoire, me demanda-t-elle gentiment.
Je hochais positivement la tête et j'avalai bruyamment ma salive, avant de prendre une grande inspiration d'air pour m'encourager. Je posais mes yeux d'un noir profond sur elle et je commençais à conter tristement mon histoire d'amour passée.
Nous nous sommes rencontrés dans un club de Hongdae, le 13 avril 2013 et en un simple regard sur la piste de danse, je suis littéralement tombé sous son charme. Le coup de foudre comme on le dit si bien. Cette nuit-là, je ne connaissais encore rien de lui, mais tout ce que je savais, c'est que je le voulais pour moi seul, coûte que coûte, et cela n'allait pas être des plus simples. Ce soir-là, je me suis installé au bar de la boîte de nuit et je l'ai étudié telle une expérience depuis mon siège avec un verre d'alcool à la main pour qu'il ne me repousse pas. Je l'ai donc jugé encore pendant quelques minutes, avant de finir d'un coup sec ma boisson et de me diriger sur la piste de danse, non loin de lui. Je me suis mis lentement à me déhancher et quelques instants plus tard, j'ai croisé son regard rempli de mystère et je l'ai soutenu durant quelques secondes, sûrement dû à l'alcool qui commençait peu à peu à se répandre dans mes veines et qui me donnait plus de courage que d'habitude. Le cerveau un peu embrouillé, une pensée pourtant claire et évidente m'a traversé l'esprit et ne m'a plus quitté de toute la soirée.
En quelques mots, qui es-tu ? Koo Junhoe, un jeune étudiant homosexuel sarcastique de vingt-trois ans qui vient de perdre, il y a un mois de cela, l'amour de sa vie. Triste, n'est-ce pas ?
Qu'est qui t'as poussé à venir ici ? Je pensais encore à lui, ce soir et la solitude est venue me voir. Sous les conseils de mon meilleur ami Donghyuk et n'en pouvant plus de tout cela, j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai décidé d'en parler à des gens qui peut-être me comprendraient.
De qui t'es-tu séparé ? Présente-le-nous. Il s'appelle Kim Jinhwan. Il a vingt-cinq ans, mais il a la tête d'un enfant de dix ans. Il y a un an de cela, il a commencé à travailler pour un célèbre magazine de mode et il s'est peu à peu éloigner de moi, sans que je ne sache pourquoi.
Comment le perçois-tu ? Décris-le-nous. Il est adorable, drôle, gentil, affectueux, attentionné et complètement parfait. Jusqu'au jour où, il m'a quitté et que je suis devenu littéralement une loque humaine. Il m'a brisé le c½ur en mille morceaux, m'a trahi et m'a fait souffrir en me quittant pour une autre personne, alors qu'il me disait qu'il n'en aimerait jamais un autre, mais malgré tout cela, je l'aime encore d'un amour sincère et profond.
Que représente-t-il encore pour toi ? Il est celui, il est l'homme sans qui, tout s'éteint dans mon corps.
Serais-tu prêt à lui pardonner ? Oui. S'il me revenait, je lui pardonnerais toutes ses erreurs.
Que donnerais-tu pour l'avoir encore juste une nuit auprès de toi ? Je donnerais tout, mes jours, mes nuits, mes rêves, jusqu'à ma vie pour ses lèvres sur mes lèvres, son souffle dans mon cou et sa peau nue contre mon corps. Je risquerais mon âme, mes espoirs et j'épuiserais mes larmes. Je donnerais toute ma vie, pour qu'il m'aime encore juste une nuit.
Comment te sens-tu actuellement après ta rupture ? Quelle question, mais parfaitement bien voyons. Je respire la joie de vivre. Je suis calme, heureux et souriant. C'est d'ailleurs pour cela que je suis venu à cette réunion de partage «Les c½urs brisés anonymes» pour remonter la pente et que je parle à des gens encore plus dépressifs que moi. Pff ! Imbécile ! Vous n'avez pas de questions plus intelligentes que celle-ci ? Je me sens comment à votre avis, hein ? Complètement au bout du rouleau, avec une grande envie de sauter dans le vide.
-Je te comprends tout à fait. Chaque personne qui vient nous trouver nous parle ainsi, mais tu verras, d'ici, quelques mois, grâce à ces réunions, tu te sentiras beaucoup mieux et tu l'auras oublié, me dit le psychologue en charge de notre groupe. Je te le promets, Junhoe, m'assura-t-elle avec un grand sourire qui réchauffa mon c½ur meurtri.
As-tu quelque chose à rajouter à ce que tu viens de dire ? Non, rien.
-Bien, dans ce cas. Bienvenue à toi, Junhoe, me dit-elle, suivit en c½ur par les autres personnes présentes dans la pièce.
A présent, raconte-nous plus en détails ton histoire, me demanda-t-elle gentiment.
Je hochais positivement la tête et j'avalai bruyamment ma salive, avant de prendre une grande inspiration d'air pour m'encourager. Je posais mes yeux d'un noir profond sur elle et je commençais à conter tristement mon histoire d'amour passée.
Nous nous sommes rencontrés dans un club de Hongdae, le 13 avril 2013 et en un simple regard sur la piste de danse, je suis littéralement tombé sous son charme. Le coup de foudre comme on le dit si bien. Cette nuit-là, je ne connaissais encore rien de lui, mais tout ce que je savais, c'est que je le voulais pour moi seul, coûte que coûte, et cela n'allait pas être des plus simples. Ce soir-là, je me suis installé au bar de la boîte de nuit et je l'ai étudié telle une expérience depuis mon siège avec un verre d'alcool à la main pour qu'il ne me repousse pas. Je l'ai donc jugé encore pendant quelques minutes, avant de finir d'un coup sec ma boisson et de me diriger sur la piste de danse, non loin de lui. Je me suis mis lentement à me déhancher et quelques instants plus tard, j'ai croisé son regard rempli de mystère et je l'ai soutenu durant quelques secondes, sûrement dû à l'alcool qui commençait peu à peu à se répandre dans mes veines et qui me donnait plus de courage que d'habitude. Le cerveau un peu embrouillé, une pensée pourtant claire et évidente m'a traversé l'esprit et ne m'a plus quitté de toute la soirée.
«A présent, j'étais ici pour lui. J'étais venu pour le gagner, ce n'était pas de la prétention, mais juste de la confiance en soi. Je le voulais à tout prix et j'allais l'avoir. Parole de Koo.»